Depuis 10 ans, nous proposons des solutions d'épargne 100% en ligne, dotées de taux de rendement parmi les plus élevés du marché et avec une finalité utile pour nos clients : l'économie réelle.
Alors que l’avenir de notre système de retraite est plus que jamais d’actualité, les personnes qui souhaitent préserver leur niveau de vie et leur pouvoir d’achat doivent savoir que des solutions existent pour compléter leur pension de retraite.
Aujourd’hui, une majorité de Français attend encore d’avoir entre 55 et 58 ans pour préparer la retraite, voire pour certains, la veille de leur cessation d’activité. Un constat regrettable quand il est possible d’anticiper pour se constituer un complément de revenu bien avant.
Alors, quels sont les différents placements à privilégier pour préparer sa retraite et à partir de quel âge ?
Pour les jeunes adultes, il est naturellement difficile de se projeter à la retraite et ce, malgré les nombreux débats dont elle fait l’objet aujourd’hui. Néanmoins, placer son argent le plus tôt possible, sur des livrets règlementés puis, lorsque leurs plafonds sont atteints, sur des supers livrets, reste la meilleure option pour mettre de côté dès que possible. Sur le marché, ces derniers bénéficient en effet de taux particulièrement attractifs, comme celui proposé par Distingo. C’est également le cas des comptes à termes qui permettent par exemple de se constituer un apport en prévision d’un achat immobilier. Car devenir propriétaire de sa résidence principale est l’une des solutions les plus évidentes pour pouvoir compenser une baisse de revenu au moment de la retraite. Pour les trentenaires aux revenus solides, l’investissement locatif reste aussi une option, notamment dans le marché du neuf avec la loi Pinel qui offre de nombreux avantages fiscaux.
Dès 30 ans, il est aussi envisageable de se tourner vers l’épargne salariale mise en place par certaines entreprises. Les fonds du Plan Épargne Entreprise (PEE), qui permet aux salariés d’acheter des valeurs mobilières avec l’aide de l’entreprise, sont indisponibles pendant au moins 5 ans mais peuvent fructifier longtemps. Quant au Plan Épargne Retraite (PER), les sommes qui y sont versées ont l’avantage d’être défiscalisées (dans la limite des plafonds imposés).
Une fois la quarantaine passée, les actifs bénéficient pour la plupart d’une bonne capacité d’épargne. Il devient alors intéressant pour eux de diversifier leurs placements, qui plus est en période d’inflation. Pour ne plus se contenter des livrets, ils peuvent se lancer en bourse ou souscrire à une assurance-vie qui peut être plus rémunératrice encore. A côté du Plan Epargne Action (PEA) et du Plan Épargne Retraite (PER), l’assurance-vie demeure l’outil de placement idéal dans la perspective de la retraite. Ce produit propose un fonds garanti, une fiscalité avantageuse et un régime favorable en matière de succession.
Autre solution : les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) qui gèrent un patrimoine et redistribuent à leurs associés les loyers perçus sous forme de dividendes. Attention néanmoins, ces placements sont à risques et les frais d’entrée étant élevés, il faut les détenir au moins dix ou quinze ans avant de les amortir.
En plus de l’assurance-vie, le Plan Épargne Retraite (PER) est, de loin, le complément de revenus à privilégier pour augmenter sa pension de retraite. Doté d’un avantage fiscal à l’entrée, il séduira les quinquagénaires les plus imposés.
Il est composé de plusieurs dispositifs : le Plan Épargne Retraite Collectif (ancien PERCO), le Plan Épargne Retraite Entreprise Obligatoire (ancien « Article 83 ») imposé à tous les salariés ou une catégorie de salariés, ou le Plan d’Épargne Retraite Individuel ouvert à tous les profils, quel que soit son âge ou sa situation professionnelle
A l’approche de la retraite, c’est le moment pour les salariés de vérifier les informations que possède l’administration sur leur parcours professionnel. Pour cela, ils se doivent de consulter leur relevé individuel de situation (RIS) et y vérifier tous les trimestres cotisés, année après année et employeur par employeur, ainsi que les informations relatives à leurs éventuels contrats d’épargne retraite, collectif ou individuel.
Après un calcul des trimestres restants à obtenir pour bénéficier d’une retraite à taux plein et selon la situation fiscale et le patrimoine de chacun, il devient alors nécessaire de passer à l’action. A titre d’exemple, céder des actifs locatifs peu rentables pour placer le produit de la vente sur un contrat d’assurance-vie pourra s’avérer intéressant fiscalement. Il est aussi envisageable de diversifier des placements dans des fonds en actions, certes non garantis, mais en règle générale plus rentables.
A chaque étape de la vie active, il convient donc d’adopter les bons réflexes épargne. Une anticipation qui est l’option gagnante pour se construire un avenir financier le plus serein possible et profiter ainsi pleinement de la retraite.
Promettre un produit d’épargne attractif revient à garantir des taux performants mais aussi un accompagnement à la hauteur. En effet, si les supers livrets parviennent à se distinguer sur le marché grâce aux intérêts qu’ils génèrent, cet avantage financier est loin d’être le seul à contribuer à leur succès. Au-delà de la rémunération et des offres promotionnelles, les banques doivent aussi assurer une qualité de service aux épargnants qui leur confient leurs placements et savoir accorder certains privilèges à leurs clients les plus fidèles. Décryptage.
L’épargne digitale est, par nature, gérée de manière totalement dématérialisée. Si elle présente l’avantage évident de pouvoir piloter ses placements à distance, les banques qui évoluent sur ce marché doivent être en capacité d’accompagner au mieux leurs clients dans la gestion de leurs livrets. Pour garantir une épargne à la fois sereine et performante, le « coaching digital », qui tire son nom du module en ligne développé récemment par Distingo, permet d’accompagner les épargnants dans la réalisation de leurs objectifs, en capitalisant sur la facilité et la simplicité du digital.
Dans une même logique, entretenir la relation client en offrant aux épargnants une écoute attentive s’avère primordiale pour des banques n’ayant pas la possibilité de les accueillir en agence. Pour cela, elles sont invitées à les sonder régulièrement sur leurs attentes et leurs besoins, peu importe l’interface. Les services proposés n’en seront que plus pertinents et joueront nécessairement en la faveur des clients comme de la banque.
Les banques peuvent aussi faire le choix d’enrichir leurs offres, par exemple en réservant à leur clientèle des taux d’intérêts revalorisés à l’image de la dernière campagne de fidélisation de Distingo. Elles peuvent même leur proposer des produits totalement exclusifs. C’est notamment le cas des livrets ou des comptes proposés à l’occasion de temps forts ou d’événements commerciaux annuels. Le Black Friday en est le parfait exemple. Rendez-vous incontournable des marques et des consommateurs, il a notamment été l’occasion pour Distingo de lancer un produit « flash » avec un taux majoré.
Les programmes de parrainage, déjà bien installés dans de nombreux secteurs (salles de sport, téléphonie mobile, hôtellerie, etc.), peuvent également être envisagés par les banques pour récompenser la fidélité de leurs clients. Ils peuvent consister en un système de prime versée à la personne qui recommande le service ainsi qu’au nouveau souscripteur parrainé comme l’a notamment proposé Distingo en juillet dernier. De la même manière, les jeux concours ou autres mécaniques d’interaction permettent d’engager une forme de dialogue avec les clients tout en les gratifiant à certaines occasions. Un principe qui a inspiré à Distingo l’idée d’un concours de dessins à destination des enfants de ses clients pour les fêtes de fin d’année. A la clé : un séjour enchanté et l’opportunité d’habiller la carte de vœux 2023 de Distingo.
Si les nouveaux clients s’acquièrent grâce à des taux rémunérateurs et une stratégie promotionnelle réussie, leur fidélité s’obtient autrement. C’est en justifiant d’une capacité d’accompagnement, en développant des services en ligne innovants et en leur accordant des offres exclusives, que les spécialistes de l’épargne digitale convaincront toujours plus d’épargnants.
Se mettre au sport, arrêter de fumer, mieux s’organiser… En ce début d’année, les bonnes résolutions sont de mises. Afin de commencer 2023 sous les meilleurs auspices et se projeter sereinement dans les années à venir, les finances personnelles doivent elles aussi faire l’objet de réflexions et de décisions.
Conserver son argent n’est jamais une bonne idée, qui plus est dans le contexte inflationniste que nous connaissons, et faire le choix d’économiser et arriver à s’y tenir revient le plus souvent à faire preuve de motivation.
Alors que les produits de placement à court, moyen ou long terme abondent sur le marché, le plus difficile reste de choisir la solution la plus adaptée à sa situation et à ses objectifs. Mais comment se lancer dans l’épargne ? La réponse en quatre étapes clés !
Pour quiconque veut épargner, deux cas de figure se présentent le plus souvent. Le premier consiste à placer son argent pour un motif de précaution afin de se constituer une réserve en cas d’imprévu ou de coup dur (accident, problème de santé, perte d’emploi, etc.). Dans ce cas, il conviendra de privilégier la sécurité et la disponibilité du placement. Le second peut aussi représenter un objectif d’épargne afin de mener à bien un projet, comme un achat immobilier, un équipement coûteux ou des vacances par exemple, et parfois difficile à réaliser sur la base de revenus courants. Dans cette éventualité, le rendement du placement s’avère central.
Une fois l’objectif d’épargne défini, une réflexion plus aboutie s’impose. Pour ce faire, répondre à une liste de questions préétablies et portant sur plusieurs aspects complémentaires peut s’avérer utile :
Lorsque toutes ces questions préalables ont trouvé une réponse, arrive l’heure du choix.
Le Livret A mais aussi les « super livrets », comme celui de Distingo, qui conjuguent performance, disponibilité, plafond élevé et sécurité du placement, sont particulièrement adaptés à une épargne de précaution.
Le Plan d’Épargne Logement (PEL) ou la constitution d’une SCI peuvent, quant à eux, être avantageux pour les personnes qui souhaitent investir dans un projet immobilier et diversifier leur patrimoine.
Par ailleurs, l’assurance vie est elle aussi un placement incontournable et contrairement aux idées reçues, ne concerne pas seulement les seniors.
De même pour le Plan d’Épargne Retraite (PER), dont l’horizon peut paraître lointain aux yeux des plus jeunes, mais qui permet de faire fructifier des dividendes et des intérêts sur une longue période.
Car l’épargne ne doit pas être perçue comme une contrainte mais comme l’opportunité de se construire un « matelas de sécurité » ou de réaliser un projet concret, l’important reste de se fixer des objectifs réalistes en estimant les montants placés au plus juste, selon son budget. Il est toujours sage de prendre de bonnes résolutions mais le principal reste de s’y tenir. Pour cela, l’essentiel est de ritualiser les versements en plaçant la même somme de façon régulière puis d’en augmenter progressivement l’intensité et le montant.
La perspective d’un nouveau relèvement du taux de rémunération du plus populaire des produits d’épargne suscite l’inquiétude dans le secteur bancaire.
Le succès du Livret A finirait-il par devenir embarrassant ? Le produit d’épargne le plus répandu de France (la Banque de France en dénombrait 55,7 millions fin 2021) a attiré 19,7 milliards d’euros depuis le 1er janvier. A ce rythme, il pourrait dépasser rapidement le record de 28,16 milliards atteint sur l’ensemble de 2012, année d’un relèvement de 25 % de son plafond. A lui seul, le Livret A représente désormais plus de 395 milliards d’euros d’épargne, 100 milliards de plus qu’en 2019.
Ils ne rapportaient plus rien il y a deux ans et retrouvent progressivement une certaine attractivité. Les livrets bancaires voient leurs taux de rémunération augmenter de mois en mois, en lien bien sûr avec la remontée des taux directeurs qui permettent aux établissements financiers de mieux rémunérer les liquidités.
Le Livret Distingo de Distingo Bank (ex PSA Banque) est un livret d’épargne, rémunéré actuellement au taux annuel brut de 2,00%. Il est accessible aux majeurs comme aux mineurs.
Le Livret Distingo est distribué par Distingo Bank (ex PSA banque), une filiale bancaire du groupe Stellantis. Les fonds collectés sont utilisés notamment dans le cadre du financement des achats de véhicules Peugeot, Citroën, DS Automobiles et Opel. Lancé en mars 2013, ce livret est le premier produit d’épargne de la marque.
Le Livret Distingo est un livret fiscalisé qui se gère à distance, de son ouverture à sa clôture. Il faut être résident fiscal français et disposer d’un compte bancaire en France pour ouvrir ce livret d’épargne en compte individuel ou en compte-joint. Chaque client ne peut détenir qu’un seul Livret Distingo. Les mineurs peuvent également en ouvrir un si leur représentant légal est lui-même titulaire d’un Livret Distingo.
Distingo par PSA Banque, qui fête ses 10 ans, devient Distingo Bank. L’occasion pour la marque, de revoir son identité graphique et son site web mais aussi d’aller à la rencontre des futurs épargnants à travers des actions de street event à Paris. Pour accompagner la nouvelle dénomination commerciale de Distingo Bank, son logo a été repensé. Une nouvelle forme arrondie autour de l’initiale de Distingo a été privilégiée pour une meilleure harmonie des formes. Ce logo a aussi l’avantage de pouvoir s’articuler en plusieurs pictogrammes pour valoriser les quatre concepts forts de la marque. Cet anniversaire est aussi marqué par le lancement du Compte à terme Distingo Green, un nouveau produit d’épargne responsable, et de deux nouvelles offres commerciales faisant l’objet d’une campagne d’affichage, presse et radio déployée à partir d’aujourd’hui.
DISTINGO BANK (ex PSA Banque), la banque de financement du groupe Stellantis, bien connue des épargnants pour son livret épargne DISTINGO (offre promotionnelle actuelle au taux de 4% brut), ainsi que pour ses offres de comptes à terme à taux fixes DISTINGO, propose désormais une offre adaptée aux enjeux de mobilité durable. L’épargne versée servira directement au financement des particuliers pour l’acquisition de véhicules électriques du groupe Stellantis en France, permettant ainsi de réduire l’émission de gaz à effet de serre.
L’épargne collectée sur le Compte à terme DISTINGO GREEN contribue exclusivement au financement aux particuliers de véhicules électriques du groupe Stellantis en France (telles que Peugeot, Citroën , DS ou encore Fiat).
DISTINGO BANK propose à ses clients livret épargne Distingo ce compte à terme DISTINGO GREEN, en faveur de la transition énergétique.
DISTINGO BANK (ex-PSA Banque), la banque de financement du groupe Stellantis, désormais renommée auprès des épargnants pour son livret épargne Distingo, propose à ses clients équipés de ce livret maison, en plus des 3 comptes à terme DISTINGO existants, une nouvelle offre de compte terme dédiée au financement des véhicules électriques en France. L’épargne collectée sur le Compte à terme DISTINGO GREEN contribue exclusivement au financement aux particuliers de véhicules électriques du groupe Stellantis en France (telles que Peugeot, Citroën , DS ou encore Fiat).
Livret A, PEL, livret d’épargne populaire ou encore « super livrets » : les banques se livrent une bataille sur le terrain de l’épargne. Parmi les offres qui séduisent les Français, le « super livret » propose entre 2,5 et 4% d’intérêts. « C’est peut-être par rapport à ce que l’on a actuellement, qui est un livret qui était à 0,5 et qui a augmenté un petit peu », juge un homme. Les taux des « super livrets » ont grimpé ces dernières semaines. Ils proposent des rémunérations jusqu’à 4%, pendant plusieurs mois.
Suite à la remise à plat des partenariats bancaires de Stellantis, PSA Banque change de nom. L’entité, connue pour son livret Distingo sur le marché de l’épargne, repart à l’offensive sur la collecte de dépôts.
La réorganisation des services financiers du géant de l’auto Stellantis continue d’avoir des répercussions. Cette fois, c’est PSA Banque, l’entité financière « captive » du constructeur automobile ayant intégré le groupe Stellantis, qui change de nom. En cohérence avec l’évolution du groupe automobile, la banque est rebaptisée ce mois-ci pour devenir Banque Stellantis France.
Au passage, sa marque historique Distingo – par laquelle la banque collecte des dépôts auprès du grand public – devient Distingo Bank. Cette dernière lance ce mardi un nouveau compte à terme vert. Banque Stellantis France est une coentreprise détenue à 50 % par Stellantis et à 50 % par la filiale en France de Santander Consumer Finance (SCF).
Les grands établissements financiers multiplient, via leurs filiales de banque en ligne, les nouvelles offres de livrets bancaires et de comptes à terme. Le taux moyen de rémunération des dépôts ne cesse d’augmenter.
La hausse des taux se voit aussi dans le métro. Depuis quelques jours, de grands panneaux publicitaires vantent, sur les quais des stations parisiennes, les bienfaits du nouveau livret d’épargne de Hello bank !, la filiale de banque en ligne de BNP Paribas.
Un nouveau symptôme du resserrement monétaire lancé par la BCE l’an dernier : les liquidités bancaires, si abondantes et bon marché ces dernières années, se tassent, et les établissements sont contraints de payer davantage les dépôts pour rester attractifs. Pour le seul mois de février, les ménages ont ainsi retiré 7,9 milliards d’euros de leurs comptes à vue, après 9,7 milliards d’euros en janvier.
DÉCRYPTAGE – Les offres de livrets boostés retrouvent du punch, dopées par la montée des taux et la concurrence du Livret A.
La hausse de la rémunération du Livret A chamboule les offres des distributeurs d’épargne. Le placement préféré des Français et son petit frère le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) affichent aujourd’hui un généreux 3 % de rendement, et séduisent massivement. De janvier à février, près de 20 milliards d’euros ont été placés sur ces produits garantis liquides et défiscalisés. Difficile de faire mieux. Néanmoins, certains s’y emploient.
La flambée des taux rebat les cartes. Concurrencées par les fonds monétaires et l’épargne réglementée, les banques luttent pour garder leurs ressources de bilan. Clients particuliers comme entreprises sont sollicités.
Les dépôts font les crédits, une transformation au cœur du métier bancaire. L’équation a évolué avec la hausse des taux, les banques doivent s’activer pour stabiliser la précieuse matière première des dépôts leur permettant de moins dépendre des financements de marché. Ajoutez-y l’assèchement des TLTRO, ces généreux prêts de la BCE aux banques: «la liquidité était abondante, elle ne l’est plus», observe Guillaume Bonnet, directeur de la gestion nancière de la Banque Populaire Auvergne Rhône Alpes. Les banques partent donc à la chasse pour conserver un bon équilibre de leur bilan.
Émilie MENDOZA-ALBA
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